À titre d'analyste des réserves de pétrole pour Gulf Canada, Alan Jackson utilise des outils informatiques et ses propres capacités d'analyse pour calculer la valeur approximative des réserves de pétrole et de gaz. Son travail requiert une excellente compréhension des principes économiques, du système de taxation, des modèles de gestion et des industries du pétrole et du gaz.


Le service d’analyse des réserves de Gulf Canada est situé dans l’édifice Gulf Canada Square au centre-ville de Calgary, en Alberta. Alan et trois autres analystes utilisent des logiciels pour suivre le volume et la valeur réels des réserves à mesure qu’elles sont exploitées et remplacées. Les analystes se servent également de ces logiciels pour estimer la valeur future des réserves selon diverses hypothèses économiques et commerciales.

Alan a récemment participé à un programme de rendement du capital dans le cadre duquel il devait analyser les achats potentiels à l’aide d’un progiciel économique. «Nous avons analysé la valeur actuelle nette des réserves à partir des calculs d’un ingénieur des réserves. Nos rapports ont ensuite été transmis aux services de budgétisation et de planification pour des analyses plus poussées avant que les décisions soient prises.»

Le technologue travaille pour Gulf depuis à peine huit mois, mais il est déjà satisfait. Son poste actuel fait appel à toute son expérience et le place dans le genre d’environnement chaotique où il se sent à l’aise.«Les demandes sont variées et on ne sait jamais à quoi s'attendre.»

Alan aime avoir le sentiment qu’il contribue directement à l’avenir de l’entreprise qui l’emploie. Il constate que la haute direction de Gulf a souvent recours à ses analyses avant de prendre des décisions très importantes pour la compagnie. «Notre président-directeur général est très enthousiaste par rapport à notre travail. Et il nous relance sans cesse avec de nouvelles hypothèses.»